Khalifa Sall: "ces tragédies humaines traduisent le désespoir d’une jeunesse"

 

15, c'est le nombre de corps sans vie qui ont été repêchés au large de la plage du village léboue de Ouakam. Des morts qui sont ceux de candidats à l'émigration clandestine. Une situation qui attriste au premier chef l'ancien de Dakar, Khalifa Ababacar Sall.

"Après Saint-Louis, Ouakam. Depuis quelques semaines, les vagues déversent sur nos rivages des dizaines de corps de nos jeunes compatriotes, candidats à l’immigration clandestine" se désole le candidat à l'élection présidentielle du 25 février 2024. 

"Je m’incline devant la mémoire des victimes et présente mes sincères condoléances à leurs familles" ajoute Khalifa Babacar Sall.

Selon lui "ces tragédies humaines traduisent le désespoir d’une jeunesse en quête d’une vie meilleure. Elles interpellent sur la nécessité d’améliorer les politiques de jeunesse et d’emploi menées par l’Etat du Sénégal". 

Sidéré par "la résurgence du phénomène", l'ancien maire de la capitale invite mertèle "nous exigeons qu’une enquête sérieuse soient ouverte afin de situer les responsabilités".

"Parallèlement, ajoute-t-il nous interpellons l’État du Sénégal sur l’urgence de trouver des solutions concrètes pour mettre fin à ce drame humain".

"Pour ma part, je m’engage à construire avec les sénégalaises et les sénégalais un avenir plus juste et plus humain qui garantit des opportunités et un espoir de prospérité chez nous" termine Khalifa Sall.

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