Des responsables politiques qui sont tentés de recrutés des nervis pour ce procès en appel du 8 mai 2023, sont avertis. La gendarmerie a pris une mesure radicale dans l’affaire des nervis présents lors des convocations de Ousmane Sonko au tribunal.
La Maréchaussée a pris des mesures radicales par rapport au recrutement de ces gros bras. Selon Source A, le général Moussa Fall a donné des instructions à ses hommes de se tenir à bonne distance de tout élément supplétif ou « nervi » pouvant être enrôlé par des responsables du camp présidentiel.
La gendarmerie tient à éviter le précédent des manifestations de mars 2021, quand elle avait été accusée de fermer les yeux sur la présence de nervis ou civils armés à ses côtés, relate le journal.
Qui précise que les éléments de la BIP devrait être positionné à proximité de la Cité Keur Gorgui où réside Sonko. Le GIGN se verra confier la sécurisation des ronds-points.