D’après le certificat de genre de mort établi suite au meurtre de la fillette Anta Ndiaye (5 ans) lundi à Bargny, la thèse du viol agitée ne tient point. « Pas de traces d’agressions sexuelles », indique en nota bene (NB)le document.
Comme cause, le certificat fait état de « mort à la suite d’une asphyxie mécanique par étranglement, associé à des lésions de coups et blessures par objet contondant ».
Qui a ôté la vie à Anta Ndiaye ? Pour quelle raison ? C’est les questions auxquelles les bargnois attendent des réponses.