Rufisque: le rêve de Cheikh Seck !

 

Un rêve qui palpite encore dans nos cœurs et nos esprits avec ce changement d'hommes à la tête de certaines communes à RUFISQUE. Je rêve d'une ville sans encombrement de ses rues, garages clandestins sur tout le long du boulevard Maurice Gueye, des écoles publiques débarrassées de ses marchands, vendeurs, tabliers qui squattent jusque leurs devantures rendant à peine possible l'accès des potaches à leurs établissements. 

C'est le cas à l'école élémentaire d'application Ibra SECK , et sa préscolaire, l'école Tafsir Niao Faye et le CEM Abdoulaye Sadji. Ces écoles étouffent d'un enserrement qui empêche le déroulement normal des enseignements apprentissages.

Sur le Boulevard Maurice Gueye, les populations pour vaquer à leurs occupations sont obligées de partager la route Nationale Numéro 1 avec les véhicules parce que tout simplement les espaces dédiés aux piétons sont occupés par des pousse-pousse d'orange de jujubes d'arachides et produits locaux divers, un spectacle ahurissant un décor hallucinant, héritage vermeil entre les mains des nouveaux dirigeants de la ville.

J'aillais oublier les nouveaux arrivants subitement venus d'horizons encore inconnus qui ont envahi la ville, les Jakarta men; encore une autre paire de manches à relever, ces jeunes conducteurs aux comportements douteux garent leurs motocycles sur des endroits très convoités par les paisibles et innocents piétons, ces derniers deviennent du coup des proies faciles pour les voitures qui les menacent à tout moment.

Grand Dieu Fassent que la vieille cité soit débarrassée de ces "oripeaux" qui lui donne l'image d'une ville sans foi ni loi.

Demain dès l'aube, Rufisquoise et Rufisquois espèrent se réveiller dans une ville où ses milliers d'apprenants quelque puisse être leurs âges pourront allègrement rejoindre leurs écoles sans danger parce qu'ils auront marché avec quiétude dans des rues propres et vierges de tout encombrement, des populations aller et venir sans disputer les trottoirs des rues avec des tabliers, vendeurs et marchands si ce ne seraient pas encore des trottoirs désarticulés et crevassés. Que Le Bon Dieu Bénisse Rufisque.

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