Les acteurs du transport sénégalais sont en grève depuis ce mercredi 1er décembre 2021. Un mouvement qui a été largement suivi un peu partout à travers le pays.
L'impact premier cette grève des transporteurs est visible à l'œil nu. Les arrêts de bus et de car Ndiaga Ndiaye sont remplis de monde et les bus Dakar Dem Dikk, les seuls qui sont en activité sont remplis.
Et pendant ce temps les Jakartas et scooters et charrettes font la loi sur la route. A l'absence de car les usagers se sont rabattus vers eux car ils constituent les seuls moyens de vaquer normalement ses activités.
L'autre impact de cette grève, c'est l'économie du pays qui va le ressentir. Déjà l'arrêt des véhicules de transport signifie la diminution de l'achat de carburant si ont sais que l'Etat gagne 60% sur le prix du carburant.
Il y a également que cette grève se fait ressentir sur tout les secteurs économique du pays. Les entreprises, les commerces, les services, les universités et même les écoles n'ont pas vu trop de monde.
Un autre aspect non négligeable de cette grève, c'est la fluidité de la circulation. Dans la capitale sénégalaise où les embouteillages s'imposaient à tout le monde, on peut se déplacer facilement.
La circulation dakaroise qui été caractérisé par des actes d'indisciplines notoires a retrouvé des moments de quiétude et discipline.
Les scène de querelle et de combat sur la route ont disparu. Les insultes et autres gros mots ont donné la place à une certaine clame et sérénité.
Les points chauds de la capitale sont devenu par enchantement des point où la fluidité a pris une grande place.
Une occasion de se poser une questions sur le comportement des acteurs du transports sénégalais. Leur grève qui a été largement suivi est est aussi également, est également moment du retour de la sérénité et de la discipline sur les routes.
N'est-t-il pas le moment pour les autorités de réfléchir sur l'indiscipline sur les routes du pays? Car une indiscipline qui a déjà causé d'énormes pertes en vies humaines.