S'il y a quelqu'un qui n'a pas peur de ses idées au Sénégal, c'est bien Cheikh Yérim Seck. Alors qu'il est attaqué de touts bords pour sa positions sur les impacts économiques de la loi sur l'homosexualité, le journaliste lance à ses détracteurs qu'il "préfère mourir que de vivre dans l'esclavage".
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