Le mercredi 24 novembre 2021, le président de la République annonce en conseil des ministre le retour du poste de premier ministre. Une décision qui intervient plus de deux après la suppression de la primature à l'issue de sa réélection.
La suppression du poste de premier ministre a été vendu sur les plateaux des médias par les membres de la communication de la coalition Benno Bokk Yakaar, comme le désire de faire accélérer les procédure.
Le président Macky Sall en premier avait estimé que les procédure de l'administration été trop lourd et qu'il faudrait que les choses soient simplifiée. Et ainsi la suppression de la primature s'imposait pour faire accélérer les chose; le "Fast Track".
Le "Fast Track", un concept qui a été vendu et expliqué aux sénégalais comme pouvant faire bouger les choses et désormais le président Macky Sall aura la latitude de booster le développement du pays.
Même ceux qui attiraient l'attention sur l'importance du premier ministre pour la bonne marche du pays, n'ont pas été entendu. Ils ont même été pris pour des gens qui sont en retard sur la marche du monde.
Plus de deux années plus tard comme une bombe, le chef de l'Etat décide de faire revenir la primature dans l'arsenal institutionnel du pays.
Et comme des suiveurs aveugles, les membres de la coalition BBY, trouvent des argument pour contredire leurs propos de 2019.
Le porte-parole de l'APR, Seydou Gueye lui va plus loin. Selon lui "le président est surbooké" c'est à dire que sa charge de travail est devenue insupportable.
D'autres trouvent d'autres arguments. Ils estiment que le président qui assure la présidence de la CEDEAO, doit trouver quelqu'un à qui délégué certaines choses pour la marche du pays.
Et pendant e temps l'opposition est resté aphone et laisse au pouvoir le temps de trouver des argument pour se contredire.