Neuf mois après l'éclatement de l'affaire Sweet Beauty, l'agent judiciaire de l'Etat fait sa première réaction sur cette affaire. Me Moussa Bocar Thiam a tenu à préciser sur les onde de la RFM que l'Etat va faire quelque chose pour les victimes.
"L’Etat est la première victime de ces événements-là" a tenu à préciser d'amblée l'agent Judiciaire de l'Etat. Selon lui "s’agissant des personnes privées, des entreprises qui ont eu à être impactées par ces événements délictuels, aujourd’hui, il n’y a pas un texte qui prévoit des responsabilités systématiques, automatiques de l’Etat du Sénégal".
"En ce moment, il doit y avoir une cinquantaine de dossiers", ajoute Me Moussa Bocar Thiam. Non sans préciser que la décision qui sera prise, "forcément", sera purement politique.